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La géobiologie au service de la santé et de la performance des cultures

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Coup de projecteur sur une formation innovante organisée par la Chambre d’agriculture de la Marne : 12 agriculteurs se sont formés à la géobiologie, aux côtés de Luc Leroy et Stephane Demée de l’Association Prosantel, et co auteurs du livre « La géobiologie en agriculture : le guide très pratique » 2019. Que faut-il en retenir ?

La géobiologie, cela vous parle ? C’est l’étude de l’impact de la terre sur le vivant. Ce sont les éleveurs qui font le plus appel à la géobiologie lorsqu’ils rencontrent avec leurs animaux des difficultés inexpliquées (agitation, mortalité, baisse de production). Alors, si la géobiologie est reconnue pour améliorer la santé des animaux et des humains, pourquoi ne serait-elle pas efficace sur les végétaux ? C’est la question qui a incité la Chambre d’agriculture de la Marne à organiser cette formation, confortée par des retours terrain. Elle fut très riche en enseignements. Très satisfaits, les participants ont décidé collectivement de poursuivre cette dynamique de partage : échanges sur Whatsapp, et projet de rencontre pour travailler en commun sur un cas précis, du diagnostic à la correction.

Quelques notions en géobiologie

La qualité du sol et du sous-sol est primordiale dans la qualité du rapport d’ambiance d’une zone. Les échanges terre-atmosphère sont nécessaires au développement harmonieux du vivant dont les végétaux. Or, ces échanges sont dépendants des incidents de la géologie (fissures, failles, nappes d’eau souterraines..) car de l’énergie, des informations et des champs vont circuler dans ces passages. Ces dynamiques pourront être favorables ou défavorables au développement du vivant, suivant leur nature.

Or, tout élément technologique a une influence négative puisqu’il produit un champ électromagnétique, créé par une charge électrique. Prenons l’exemple d’un poteau électrique positionné au-dessus d’un cours d’eau souterrain. La propagation des ondes électromagnétiques se fait à partir d’une interaction entre l’élément technologique « le poteau », et un point de perturbation géobiologique « l’eau », par laquelle est diffusée l’énergie négative. L’eau est un condensateur très efficace : elle prend l’information d’où elle est, et la diffuse là où elle circule (voir La mémoire de l’eau – Masaru Emoto).

La géobiologie c’est donc l’étude de trois plans : la matière, l’énergie et l’information.

Les outils utilisés en géobiologie

La détection sensible est l’outil le plus facile à utiliser pour la détection de ces phénomènes. Notre corps a la capacité de perception et le ressenti nécessaire pour appréhender la qualité de nuisance ou de potentiel que procure une zone. Pour cela, il s’agira de se munir de baguettes spécifiques (baguette coudée, baguette type sourcier, baguette souple, pendule) afin d’amplifier un signal subtil de notre corps. On parle d’«intelligence corporelle», liée à une détente du mental, pour définir l’intuition ou l’instinct.

Les applications de la géobiologie sur son exploitation

La géobiologie se pratique en deux temps : la première phase consiste à diagnostiquer des sources de perturbations géologiques et technologiques via la détection sensible afin de caractériser sa parcelle. La deuxième phase comprend des mesures correctives pour transformer une influence négative en positive, et ainsi solutionner le problème identifié.  
Le diagnostic débute par la mesure du taux vibratoire global de la parcelle. Il s’agira ensuite d’affiner ce diagnostic en identifiant des zones où le taux vibratoire est plus faible. Pour chacune d’entre elles, il faudra trouver quelles sources de perturbations sont à l’origine d’une influence négative (faille, nappes d’eau souterraines, avec ou sans charge électrique…). En complément, les zones de croisements de réseaux magnétiques de la parcelle (Curry, Peyré) devront être détectées, puisque ce sont des zones à forte concentration d’énergie.

Pour la seconde phase, différents outils sont utilisés pour corriger un problème, en fonction de l’objectif visé.

Objectif 1 : augmenter le taux vibratoire de la parcelle.

  • Réaliser des tracés régulateurs à partir d’une carte afin d’améliorer l’absorption  des énergies terrestres (ancrage) et cosmiques (élévation) de la parcelle. Le végétal est un capteur efficace de ces deux types d’énergies (exemple : la forêt de Verzy).
  • Dynamiser la parcelle sur la zone à perturbations négatives.

Objectif 2 : Diffuser à la parcelle une information positive, par le bais des perturbations géologiques. On rechercher à informer la parcelle.

  • Positionner un dispositif d’information à l’extérieur de la parcelle ou à des croisements de réseaux magnétiques. Tout cela en amont d’un cours d’eau souterrain ou d’une faille.
  • En présence d’une perturbation électrique à influence négative sur une faille ou un cours d’eau, placer un dispositif d’information positif (symbole de fleur de vie).

Si vous souhaitez en savoir plus, n’hésitez pas à contacter la Chambre d’agriculture de la Marne :
Andréa Vidal – Tél.06.31.97.19.48 - andrea.vidal@remove-this.marne.chambagri.fr

D’autres formations sur cette thématique pourraient être à nouveau organisées.